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Le bénévole (espèce menacée, à protéger)
Le bénévole (activus benevolus) est un mammifère que l’on rencontre surtout dans les associations où il peut se réunir avec des congénères : les bénévoles se rassemblent à un signe mystérieux appelé « convocation ». On les rencontre aussi en petits groupes, dans divers endroits, quelquefois tard le soir, l’oeil hagard, le cheveu en bataille, le teint blafard, discutant ferme de la meilleure façon d’animer une manifestation ou de faire des recettes supplémentaires pour boucler un budget.
Le téléphone est un appareil qui est beaucoup utilisé par le bénévole et qui lui prend beaucoup de son temps, mais cet instrument lui permet de régler les petits problèmes qui se posent au jour le jour.
L’ennemi héréditaire du bénévole est le « yaqua » (nom populaire) dont les origines n’ont pu être à ce jour déterminées ; le « yaqua » est aussi un mammifère bipède mais il se caractérise surtout par un cerveau très petit qui ne lui permet de connaître que deux mots : « Y a qu’à » ; ce qui explique son nom.
Le « yaqua », bien abrité dans la cité anonyme, attend ; il attend le moment où le bénévole fera une erreur, un oubli, pour bondir et lancer son venin qui atteindra son adversaire et provoquera chez lui une maladie très grave, le « découragement ». Les premiers symptômes de cette maladie implacable sont visibles très rapidement : absences de plus en plus fréquentes aux réunions, intérêt croissant pour son jardin, sourire attendri devant une canne à pêche et attrait de plus en plus vif qu’exercent sur le sujet atteint un bon fauteuil et la télévision.
Les bénévoles, décimés par le découragement, risquent de disparaître et il n’est pas impossible que, dans quelques années, on rencontre cette espèce uniquement dans les zoos où, comme tous ces malheureux animaux enfermés, ils n’arriveront plus à se reproduire.
Les « yaqua » avec leurs petits cerveaux et leurs grandes langues viendront leur lancer des cacahuètes pour tromper leur ennemi, ils se rappelleront avec nostalgie du passé pas si lointain où le bénévole abondait et où on pouvait le traquer sans contrainte.

N.D.L.R. Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou ayant vécu dans nos écoles ne serait évidemment que pure coïncidence.

Recette de ma belle-mère
Noël et la Saint-Sylvestre en Hollande sont toujours des moments magiques de l’année. Le pays est habituellement couvert par un épais manteau de neige et les rues sont décorées avec des arbres de Noël et des milliers de lumières qui ajoutent à l’atmosphère féérique. Les gens se dépêchent de rentrer à la maison pour être avec leurs proches, mais pas avant de s’être arrêtés devant un stand de beignets. Ces stands colorés de nourriture surgissent à tous les coins de rues au cours de cette période de l’année et proposent plein de beignets de saison traditionnels. Les gens rentrent souvent à la maison avec un sachet d’oliebollen fraîchement frits…après en avoir mangé un sur place !

Les Oliebollen, se traduisantt littéralement comme des boules de graisse, sont des boules de pâte frites, parsemées de raisins secs et raisins de Corinthe, et saupoudrées généreusement de sucre glace.  Il est de tradition de servir les oliebollen, en cette période de l’année, avec du café.

Les Oliebollen sont aussi bons froids, avec une tasse de café chaud et un peu de sucre glace en plus. Cette recette est pour environ six oliebollen.

Beignets (Oliebollen)

• 125 g de farine
• 75 ml de lait chaud
• 7 de levure sèche
• 20 g de beurre mou
• 15 g de sucre
• 1 cuillère à thé de zeste de citron
• 1 pincée de sel
• 1 œuf
• 20 g de raisins secs et de Corinthe ou autres fruits secs.
• 1 grosse cuillère à soupe de sucre glace.

Faire tremper les raisins secs dans le rhum quelques heures ou dans de l’eau chaude, de préférence la nuit avant de frire. Dissoudre la levure dans le lait tiède. Mélanger la farine, le sucre et le zeste de citron, et mélanger le lait à la levure avec soin. Ajouter l’œuf et le sel et mélanger la pâte pendant quelques minutes jusqu’à ce que tout soit bien mélangé. Incorporer les raisins secs égouttés. Couvrir et laisser lever jusqu’à ce que la pâte double de volume, mélanger et laisser lever à nouveau.

Dans le même temps, faire chauffer l’huile dans la friteuse à 190°C. Poser sur un plat plusieurs feuilles de papier absorbant pour absorber l’excès de graisse des beignets. Mélanger à nouveau la pâte. Utiliser maintenant une grande cuillère ou une cuillère à crème glacée pour prélever un peu de pâte. La déposer dans l’huile chaude et faire frire pendant environ quatre minutes de chaque côté ou jusqu’à ce que le beignet soit doré. Il est important de mesurer la température de votre huile : si elle est trop chaude, elle brûlera l’extérieur, mais l’intérieur sera cru.

Égoutter les beignets sur du papier absorbant, puis les mettre sur une autre assiette et saupoudrer de sucre en poudre.

Cadeau de Gérard

Bonjour a toutes et tous,

C’est Pasquale qui vous baladera lundi prochain

Bonjour chers adhérents,
Voici les renseignements complets concernant « la Godasse » , « le moulin de Louis et d’Elsa »et le séjour de 3 jours « la Bussière ».

1° La Godasse avec Michel Jamet le jeudi 20 Décembre 2018.
Départ du car au parking du Cosec à 15h.
Prix : 44€ incluant le car et le restaurant.

2° Randonnée : »le moulin de Louis et Elsa » avec Jean-Mi et Daniel, jeudi 21 février 2019.
Départ des voitures (covoiturage) au parking du Cosec à 8h.
RDV le matin à Longvilliers, parking de l’ église; il y aura 2 parcours : 7kms ou 10 kms.
Restaurant.
L’après midi, visite guidée du moulin d’Elsa Triolet et Louis Aragon à14h puis promenade dans le parc.
Il est possible de venir nous retrouver seulement pour le restaurant.
Prix : 38€ : restaurant : 31€+ 7€ de visite
Début des inscriptions : mardi 6 novembre.

3° Séjour « la Bussière » (Vienne) avec Daniel, Jean-Michel et Marcel du 20 au 23 mai 2019.
Il faut compter 4h en voiture, car il y a 350 kms pour arriver dans le département de la Vienne : 86.
Départ en covoiturage au pkg du Cosec à 7h, mais l’horaire peut varier selon les chauffeurs.

J1 : RDV à 11h à l’office de tourisme de Chauvigny. Repas au restaurant. Puis visite guidée de la cité médiévale. Arrivée au VVF « la Bussière « à 17h.(GPS : la Bertholière).

J2 : marche le matin autour du VVF, repas au VVF, puis visite guidée de l’Abbaye de St Savin et promenade sur les bords de la Guatempe.

J3 : les étangs de la Brenne. RDV à la réserve de la maison de la nature et promenade. Pic nic à 12h, maison du parc, château du Bouchet, dégustation, visite. Retour au VVF.

J4 : Angle du Langlin. Visite guidée de la ville suivie d’un pic nic. Après midi libre avec marche selon demande.

Prix : 280€ + covoiturage.
Modalités de paiement : 100€ à l’inscription; 90€ début Janvier; 90€début février.
Début des inscriptions : mardi 6 novembre.

Amicalement et à très bientôt.

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